lundi 14 octobre 2013

That's life

Woaw il s’en est passé des choses depuis ce dernier post ! Déjà la soudaine réalisation que ce n’est pas parce que je n’ai rien écrit depuis un an et demi que je n’ai plus le droit d’utiliser ce blog. Ce blog qui à la base était supposé être un outil de communication avec l’extérieur alors que soyons honnête il est là uniquement pour moi. Et vous qui tombez dessus volontairement, ou pas, êtes de simples spectateurs.

Et j’ai besoin d’écrire, besoin d’écrie parce que je ne m’en étais pas rendu compte mais cette année et demi a été bien remplie :

J’ai écrit mon mémoire et pas à la dernière minute ! Parce que ça m’intéressait et que j’avais l’impression que c’était intéressant. J’ai par la même réussie mon année, je n’ai pas eu foncièrement d’été pour ça, mais ça valait le coup (et les quelques jours d’été que j’ai eu valaient bien plus que 2 mois).

Puis est arrivé Octobre, avec le retour en France et le retour à la réalité qui va à chaque fois avec. C’était le mois d’Octobre j’étais seule sur Grenoble, au chômage à me battre avec pôle emploi et la sécu française (et anglaise par la même). Puis feuilletant Mad Movies je suis tombée sur une annonce qui recherchait des volontaires pour participer au PIFFF, dont des traducteurs ! A l’époque boostée par une confiance en mes capacités de sous-titreur  post-mémoire, j’ai postulé. Et par je ne sais quel miracle on m’a confié un film à traduire. Ma mission était de traduire les sous-titres anglais d’un film fantastique espagnol. Ne parlant pas un mot de la langue des ibères je n’étais d’abord pas très enthousiasmée… Et puis finalement cette semaine de boulot a été extrêmement bonne pour moi, sans elle j’aurais certainement baissé les bras et ne serait peut être pas où je suis aujourd’hui.

De ce mois d’octobre s’en est suivi 4 mois où j’étais décidée à tout faire pour trouver un travail. Je serais honnête j’ai crue jeter l’éponges à plusieurs reprise… c’était long. Je me suis même plongée dans la fièvre de Noël à partir du mois de Novembre. J’avais besoin d’ondes positives, le genre d’ondes qu’on trouve qu’à cette période.  Puis j’avais aussi cet autre projet qui me gardait la tête hors de l’eau. Le Canada, je veux y aller, je veux y vivre, je veux y travailler, m’y acheter un chien et manger des pancakes au sirop d’érable…

Mais aller au Canada ce n’est pas si facile quand on rate le coche des demandes de visa. Alors je n’y suis pas… Et c’est tant mieux sinon je serais passé à côté de quelque chose de tellement plus important.

En janvier les choses se sont débloquées ! J’ai eu mes premier entretiens d’embauches (et je les aie trouvé par mes propres moyens, pas grâce à pôle emploi, sans surprise.). Après deux entretiens sans résultats, dont un passé à Liverpool (encore merci Sandrine de m’avoir hébergée) mon amie Delphine me confie que l’entreprise pour laquelle elle travail s’apprêtait à embaucher. Ni une ni deux je postule, passe un test (deux en fait) un entretien de 10 minutes et paf ! J’ai un boulot ! Bon en Ireland… ça par contre ce n’était pas tellement motivant.

Et ça y est mars est arrivé, un petit passage par Londres pour voir The Book of Mormon la comédie musical de Matt Stone et Trey Parker (South Park), le moment que j’attendais depuis près d’un an et demi. Les 2H00 les plus drôles que j’avais pas vécus depuis très longtemps… Je prends le temps de respirer  Londres une journée et de là je vais à Dublin. Avec l’arrivée à Dublin arrive le stress d’un emménagement à l’étranger, toutes les démarches à faire et surtout l’appartement à trouver rapidement, très rapidement. Un concours de circonstances a fait que j’ai pu trouver un appartement avec Del à tout juste 7 minutes à pied de notre travail.
Le 19 Mars j’ai commencé à travailler pour mon tout premier boulot, stressée comme on peut l’imaginer. Mais je n’étais pas la seule, on était nombreux dans ce cas là. L’équipe française dont je fais partie est uniquement composée de newbies. Déborah, Jonathan et moi. Du coup tout les trois nous avons vite accrochés. Forcément entre geeks on se trouve rapidement des points communs. Après tout juste une semaine Debow me confie « Tu sais je suis super contente d’être tombée sur John et toi, vous êtes super » et j’étais on ne peut plus d’accord, je ne savais juste pas à ce moment que j’allais être de plus en plus d’accord. Les premier mois sont passés de manière assez normale j’apprenais à découvrir cette nouvelle ville et mes nouveaux collègues et je découvrais la joie d’avoir un salaire à la fin de chaque mois.


Puis je ne sais plus si c’était en Avril ou en Mai j’ai réalisé que j’avais hâte d’arriver au travail le matin, mais pas pour le travail. Non pour lui. Ah comme je suis heureuse d’avoir raté le coche pour les visa du Canada l’année dernière. Enfin vous vous en doutez je ne lui ai pas sauté au coup, non, j’ai gardé pour moi ce que je ressentais, parce que la relation que j’entretenais avec lui me convenait. Cela me convenait bien plus que la seule alternative que mon cerveau considérait. On passait de plus en plus de temps et c’étais de plus en plus difficile. Difficile de ne pas lui dire que je le préférais à n’importe qui d’autre dans l’univers, que quand il me disait au revoir à la fin de la journée j’avais envie de m’enterrer sous ma couette. Et puis une nuit en Juillet alors que je pensais que c’étais tout simplement impossible. Il m’a dit que je lui plaisais. Ce n’était pas le coup de foudre, c’était mieux. C’est mieux ! C’est simple. Je suis bien avec lui, il est bien avec moi, on est bien ensemble. Ça y est pour la première fois de ma vie je suis amoureuse. Mais l’handicapée des sentiments que je suis est incapable de le lui dire. Tout simplement parce que j’ai peur, peur que ça s’arrête. C’est stupide mais c’est comme ça. Ça fait maintenant un peu plus de trois mois, c’est tout frais, et je suis bien et stressé (oui et pas mais) parce que c’est un bon stresse, celui qui vient avec les choses nouvelles et excitantes. Même si j’avoue que emménager ensemble et rencontrer ses parents dans la même semaine c’est avéré éprouvant pour mon petit cœur de stressée. Car oui un autre concours de circonstance à fait que Del a dû faire ses valises et rentrer en France. Me retrouvant sans colocataire, une bonne âme a donc dû se sacrifier pour m’offrir une petite place dans sa chambre (bon ok pas si petite, son placard est maintenant plein à craqués et ses affaire se sont retrouvées reléguées dans un tiroir sous le lit, mais hé quand on fait entrer une fille dans sa maison on en assume les conséquences !

That's Life, Frank Sinatra, That's Life, 1966

lundi 18 juin 2012

Oh ! éh ! hein ! bon !

Des fois j’ai envie de dire “zut nom d’un screugneugneu” mais là j’ai plutôt envie de dire “mais putain c’est quoi ce bordel de merde tenu par une pute borgne unijambiste ?!!!”. Non c’est vrai quoi à un moment donné l’univers va devoir arrêter de ce foutre de ma gueule. Par ce que ça y est c’est officiellement les vacances d’été, le campus est censé être vidé de tous ceux qui ne sont pas tenus de rester ici pour écrire leur mémoire. Alors est-ce que quelqu’un peut m’expliquer POURQUOI ce type était à la BU quand je suis arrivée ce matin ? Hein ? Pourquoi ? J’étais pourtant persuadée que Vendredi dernier marquait la fin de mes jours en tant que ninja sur ce campus, à redouter le moindre virage où je risquais de tomber nez à nez avec ce truc. J’étais persuadée que je n’aurais plus à ressentir ce dégoût chaque fois que je voyais ça. Mais non manque de bol, où karma, enfin pour le coup je vois pas pourquoi c’est moi qui me mange le retour karmique, c’est le premier être que je vois ce matin sur le campus. Ah, ah , ah très drôle, il faut me laisser maintenant.
Voilà c’était le moment, je suis toujours en vie et je raconte ma vie super fascinante.

lundi 28 novembre 2011

So Long Babe

Ah ah , j'ai relue mes derniers posts, et promis après celui là je ne vous embête plus avec mes problèmes de fille (enfin pour l'instant). Je me suis dis que bon vous méritiez de savoir comment ça c'était goupillé au final cette histoire, surtout après que vous ayez dû supporter mes plaintes. Donc au final j'ai du m'abaisser à utiliser fesses de bouc pour informer monsieur que c'était fini. Mais ce n'est pas grave j'ai eu l'autorisation de plusieurs de mes amies, qui m'ont dit que "D’ordinaire ça se fait pas mais là il le mérite, et puis c'est ton seul moyen de le contacter" (enfin j'aurais pu, par le biais de mon téléphone mais nous avions établit préalablement qu'il ne manquerais plus que j'ai a dépenser de l'argent pour ça...). Bref après mon superbe message (rappelez-vous les violons toussaaa) monsieur a continué de m'ignorer. Jusqu’à jeudi dernier où il m'a envoyé un message disant "Désolé de ne pas avoir répondu plus tôt j'ai oublié. Oui je m'attendais à ce que ça arrive, mais pas aussi tôt, enfin j’espère que ça n'affectera pas notre amitié."
Ce message a provoqué deux réactions chez moi. La première : Oublié ??!!! Comment on peut oublier de réagir à une putain de rupture ?!! Sérieusement ? À cause de ça j'avais passé une semaine à me détester interprétant son silence comme signe de sa haine envers ma pauvre personne (si, si à ce point). Mais non il avait juste oublié...
Deuxième réaction : Quelle amitié ?! On n'a rien partager si ce n'est des conversations soporifique sur les frozen yogurts... Et le pire je ne peux même pas l'envoyer péter, sinon je vais passer pour la méchante et vu que maintenant je le croise tout le temps (s'en est limite flippant d’ailleurs), si ça peut m'éviter des regards qui tues il va falloir que je trouve une réponse à ce message miteux...

dimanche 20 novembre 2011

J'Comprend Pas

Non vraiment je ne comprend pas. J'ai vraiment du mal à le cerner... Vendredi j'étais prête à passer en mode Berserk, ne pas prendre de pincettes et à l'envoyer paître de manière plus ou moins brutale.
Mais plus tard le vendredi soir je reçois un message de sa part sur les fesses d'un bouc, premier véritable contact depuis des jours (oui par ce que mon interprétation surprise de la femme invisible de vendredi ne compte pas...). Et là le plus naturellement du monde le mâle demande "Comment c'est passée ta journée? tu vas faire quoi ce week-end?". Ce à quoi je réponds qu'ayant était malade cette semaine j'allais principalement rattraper les cours que j'avais manqué.
Pas de réponse, pas d’inquiétude sur mon état de santé, bon je suis pas experte mais normalement quand on s’intéresse à quelqu'un on lui demande au moins si ça va mieux, enfin je sais pas.
Un peu vénére (oui au point d'utiliser du verlan) je lui demande pourquoi il m'a ignorée plus tôt dans la journée, ce à quoi il répond "Oh je n'avais pas réalisé, désolée que tu es ressenti ça comme ça", ..., là je suis allée me coucher par ce qu'il paraît que rompre (enfin pour rompre il faudrait déjà qu'il y est une relation officielle...) par fesses de boucs interposés ça ne se fait pas même après à peine un mois...
Non j'ai attendue d'être reposée et de m'être définitivement débarrassée de la migraine qui me torturait depuis mercredi soir pour répondre à ce message plus faux cul que jamais. Je lui ai donc expliqué que en effet je l'avais ressentis comme ça par ce qu'il avait agit comme si je n'étais pas là. Et depuis pas de nouvelles... Bonne nouvelle?
Bon après je ne peux pas m’empêcher de me dire que si ça se trouve il lui est arrivé quelque chose de terrible qui fait qu'il est tout à fait légitime qu'il m'ait laissé dans le vent, et que du coup le timing pour le larguer ne serait pas le meilleur...
Auquel cas j'ai trouvé l'excuse parfaite pour en finir avec cette histoire : la date limite. C'est que voyez vous monsieur l'an prochain part étudier un an en Espagne. Et il aurait partagé avec l'une de ses amies qu'il ne voulait pas que notre relation devienne trop sérieuse à cause de ça, puisqu'on ne serait plus dans le même pays toussaaaaa (ce qui est con vu que dès Septembre je bosse et certainement en tant que freelance et que par conséquent je peux bosser n'importe où). Du coup merci coco tu m'as servis une excuse en or et sur un beau plateau :D ! Maintenant je travail mon beau discours "Tu vois au début je pensais pouvoir faire avec l'idée qu'on ait une date limite, mais je me rends compte que je n'y arrive pas désolé." (associez la bonne musique avec des violons et sortez les mouchoirs mouhahaha). Mais bon j'aimerais bien régler cette histoire avant lundi histoire de bien commencer la semaine. Mais bon ça va pas être évident avec Silence Radio.

J'Comprend Pas Jacques Dutronc Jacques Dutronc 1975

vendredi 18 novembre 2011

How Peculiar

C'est vrai que c'est étrange. Je veux dire ça nous est tous arrivé, et plus d'une fois, de tomber sur une chanson qui colle parfaitement à un évènement (c'est là où on se rend compte que les auteurs font bien leurs boulots finalement).
Anyway, en l’occurrence la chanson là c'est "sexed up" de Robbi(IIIIiiiiiIIII)e Williams, j'aurais d'ailleurs pu intituler l'article ainsi, mais j'avais peur d'induire les internautes en erreurs... (par ce que mine de rien mines de crayons, des fois les recherches internet qui mènent a mon blog, sont quelques peu... étranges, mais là je m'égares).
Bref (ouh je sens l'article à brefite aiguë). En gros l'histoire derrière cette chanson de sieur Robbie, c'est "écoute, t'es pas intéressant, je m'ennuies avec toi, ça ne marche à aucun niveaux, on arrête de se voir et on fait comme si on ne s'était jamais rencontré", puis avec un ou deux "screw you" placés par ci par là qui font du bien. Donc maintenant je pense que vous voyez vaguement où je veux en venir après mon intro sur les chansons qui collent bien aux situations...
Vous l'aurez compris ça n'a pas marché avec le bestiau, c'est qu'à la base de base, je m'étais dis, que si pour le moment je ne savais pas trop quoi penser du bonhomme c'était tout simplement que je ne le connaissais pas encore vraiment. Et que plus ça irait plus je le trouverais intéressant, bizarrement hein. Seulement voilà il a fallu que je tombe sur une de ces personnes qui sont mono-couche, ils ne s’intéressent, qu'a une chose, ne parlent que de ça et ne vivent que pour ça. Dans ce cas précis c'était "devenir millionnaire à 25 ans en vendant du yaourt glacé, sous le même nom qu'une chaîne de nettoyage de voiture".
Au début c'est mignon, au bout d'une heure un peu moins, au bout de trois semaines c'est un mobile solide pour un meurtre... Donc voilà j'ai donc décidé mardi/mercredi d'arrêté de voir monsieur. Ce qui en soit n'était pas difficile, vu que j'étais toujours celle à faire les démarches pour se voir. Mais bon je ne suis pas une sauvage non plus et je m'étais dis que : si jamais je le vois sur le campus et que je n'ai pas le temps de partir en courant me cacher, je suis polie je lui dis bonjour et si j'ai le temps je l'envois balader en bon et dû forme. Bref faire "genre" je suis mâture. Seulement il semblerait que la même décision ai été prise de l'autre côté, mais appliquée de manière plus radicale, et tout de suite beaucoup moins mâture.
Je n'ai donc reçue aucune nouvelles depuis mardi soir (jusque là rien d'anormal vu que d'habitude j'étais celle qui prenait des nouvelles). Et, ce midi, mes amis c'était magique. Je rentre des cours avec mon amie Melissa et sur le chemin on croise monsieur (comme de bien entendu) en compagnie d'autres personnes (mais là à la limite on s'en tape) et du coup en personnes civilisées, on dis bonjour à Dan, qui continue son chemin comme si de rien n'était, mais qui fini par s’arrêter une fois que Melissa insiste de nouveau dans sa salutation. Et là c'était beau, il ne m'a même pas adressé un regard, c'est contenté de discuter avec Melissa et est reparti sans même tenir compte de mon au-revoir.
Ah oui ? Tu veux la jouer comme ça mon coco ? Tu ne sais pas à qui tu a affaire, mouhahahahaha !
Let's play dirty !

(Bon ce qui nous intéresse ici ce sont les paroles de la chanson pas tellement le clip en lui même)

How Peculiar Robbie Williams Escapology 2002

vendredi 11 novembre 2011

Un détour par ma santé mentale (et sentimentale)

Chose promise chose due. Voici le récit de mes 6 première semaines à Guildford. Enfin c'est plutôt un reader's digest...
Par où commencer... Bon l'arrivée n'était pas tellement passionnante en soit, j'ai rencontré des gens dans le train, mais comme toutes les rencontres de "première semaine" passé les premières courses "minimum vital" l'histoire était déjà finie.
Puis je pourrais vous parler de mes problèmes de banques, comment il a fallu à Natwest 6 semaines pour m'ouvrir un compte, ou comment HSBC (oui par ce qu'au final lassée d'attendre que Natwest daigne m'ouvrir un compte avant que je ne me fasse expulser de mon logement, j'ai ouvert un compte à HSBC) a mal orthographié mon nom sur ma carte de paiement... J'en ai tellement bavé, et tellement racconter ces déboires que je n'en peux plus.
Non parlons plutôt du sujet qui nous intéresse toutes vraiment! Les garçons! Où plutôt le garçon en l’occurrence...
Et oui il y a trois semaines de ça l'impossible c'est produit!! J'ai rencontré quelqu'un. Grand blond aux yeux bleu, maigrichon, et bien-sûr avec cet accent british qui ferait fondre n'importe quel iceberg (moi, même si j'étais déjà conquise à blond....).
Le seul ick c'est que je ne suis pas vraiment à jour sur la situation officielle qu'est sensée avoir cette relation. Il semblerait que mon entourage ne me considère plus célibataire, mais vu que je ne vois presque pas le spécimen personnellement je vois pas tellement de changements.
Nop je passe en effet toujours mon vendredi soir en compagnie d'une pizza, d'un paquet de M&M's et d'une comédie romantique. Et le pire c'est que désormais lorsque que je partage mon opinion sur un être membre de la gentes masculine je vois mes amies ouvrir grand leurs yeux et je sais que dans leur tête passe la question "mais elle à quelqu'un et remarque quand même les autres"... Et je ne sais pas je suis sensée culpabiliser pour ça ou quoi? Une fois prise on est sensé avoir des oeillères? Et la partie la moins drôle c'est que je ne peux même plus me plaindre du fait que je ne plaise pas. Donc en gros je dois me contenter des mauvais côtés des deux situations? Fuuun.
Et oui j'ose me plaindre! C'est que voyez monsieur est occupé et je le vois à peine, et maintenant vu le prénom de l'oiseau, je dois dire que je vois venir gros comme une maison le coup de la pouf anorexique à poil dans la salle de bain, qui quand elle me verra débarquer lui dira "mais tu m'avais dis qu'elle était mince". Oui bon sorti de son contexte ça peut paraître incongrue comme pré-sentiment. Mais voyez c'est que D. porte le même prénom que ce cher Cleaver dans Bridget Jones... (roh faites une recherche google ça prendra deux secondes.).
Bref tout ça pour râler alors que je n'en ai pas le droit (par ce que mine de rien je l'aime bien), et aussi histoire de m'occuper un vendredi soir...

Un détour par ma santé mentale Martin Rappeneau La moitié des choses 2005

mercredi 9 novembre 2011

And Your Bird Can Sing

Wow... ça fait un bail. Et je pensais vraiment qu'une fois de retour en Angleterre je me remettrais à bloguer régulièrement. Il faut croire que non. Mais c'est vrai aussi que j'arrive à communiquer à intervalles réguliers avec la plus part des personnes à qui s'adresse ce blog.
Mais, il paraît qu'il faut que j’exerce mon français. Histoire de ne pas trop en "perdre". Je dois avouer que j'en suis à un point où je ne sais jamais si je dis quelque chose de correct où si je sors anglicismes sur anglicismes. Donc si jamais vous trouvez que j'utilise des tournures étranges, qui ne paraissent pas très françaises n’hésitez pas à me le signaler, il faut que je me corrige!
Donc voilà pour mes "devoirs" je vais remettre ce blog sur pieds, après tout ce n'est pas comme si je n'avais rien à raconter... C'est que ces sept dernières semaines ont été chargés en évènements. Mais bon ce poste là n'est qu'un échauffement, et puis il faut que j'apprenne à tenir mon "publique" en haleine (il faut dire aussi que mon "publique" connait déjà le contenue des dites semaines, donc le rapport ne presse pas trop trop non plus...)
Je dois maintenant trouver une conclusion... Allez hop pirouette une vidéo !! Voici le trèèèèès choupi Joseph Gordon-Levitt (Mais siiiii vous l'avez forcément vu dans Inception !) en live, et oui il chante aussi (miAAAou).



And Your Bird Can Sing The Beatles Revolver 1966

lundi 15 août 2011

Suis-Je Normal?

Ça sent la craie…

Ça doit être un vieux réflexe mais quand vient le 15 août ça y est je ne peux pas m’empêcher de regarder un stylo sans avoir une boule au ventre. Boule au ventre qui ramène tout un tas de questions existentielles comme «Est-ce que ma classes sera bien ?», «Est ce que mes profs seront sympa ?», «Est ce que je retrouverais mes copines ?».

C’est après une fraction de seconde que je réalise que les réponses à ces questions m’importent peu. C’est vrai que depuis ma première année de fac peu importe si ma « classe » sera bien, vous pensez bien que depuis le temps j’ai compris que ceux qui ne voulais pas être présent ne l’étaient pas. Pareil gnafoutre de savoir si mes profs seront sympa tant que j’arrive à comprendre ce que je dois pondre aux exams. Et vous pensez bien que j’ai intégrer depuis longtemps que ce n’est pas par ce que je ne suis pas en cours avec mes amis que je ne peux pas rester en contacts avec eux…
Mais il n’empêche que dans les catalogues je regarde les nouveaux cartables, dans les rayons des grandes surfaces je me jette sur les agendas en me demandant comment je pourrais embellir la couverture. C’est quand même con, ça va faire plus de trois ans que je n’en n’utilise plus…

Bon je vous préviens un peu tard mais ce post ne va nulle part… C’est juste que voilà, je vais probablement faire ma dernière rentrée et je suis gagné d’une certaine nostalgie. Ce qui est très con vu que j’ai toujours angoissé comme une tarée à cette époque de l’année…

Suis-Je Normal? Cedric Atlan Cedric Atlan 2003

vendredi 6 mai 2011

I Can't Decide

Arf Je perds quelques unes de mes précieuses minutes de Mai (ça m’apprendra à glander le reste de l'année.... Enfin le pire c'est que j'ai pas vraiment glander en fait,breeffff) pour offrir à vous le dilemme qui me turlupine depuis hier soir... Voyez alors que je m’apprêtais à envoyer ma réponse signée d'acceptation à Surrey j'ai reçu un e-mail me signalant que j'étais acceptée à l'université de Roehampton... et maintenant je ne sais plus, enfin si je sais que j'irais très certainement à Surrey mais j'ai tellement peur de rater quelque chose en ne considérant pas mes autres options. C'est qu'a Roehampton le programme de traduction audiovisuel à l'air tellement mieux en place qu'a Surrey... Après je me dis que c'est aussi peut être qu'ils ont une meilleure com. Par ce que le souci avec Roehampton c'est que les frais d'inscription et de logement sont quand même plus cher qu'à Surrey. Après le fait que l’université de Roehampton soit située à Londres n'aide pas non plus, je suis pas ultra fan de l'idée de vivre dans une capitale, même si je me dis que ça serai une occasion sans pareil avec un accès plus facile aux manifestation culturelle (comprendre concerts), et merde être à Londres l'année des J.O il y aura sans doute une effervescence qui dois valoir le coup.... Mais bon de l'autre côté il y a Guildford, une ville qui est devenue cher à mon cœur, parfaite pour la bisounours que je suis. Avec des trains pour Londres toutes les 20 minutes... Aussi Guildford étant familière je risque de trouver moins de distractions ce qui n'est pas plus mal quand on est en MA.... Après à Londres je pourrais sans doute rencontrer un tas de nouvelles personnes, mais à Surrey je pourrais retrouver mes amis de l'année dernière... Breeeeeeeeef aussi je pense que j'aurais étais moins perturbée si je n'avais pas étais accepté le même jour où je me décidais à finir les démarches pour Surrey, par ce qu'il y a bien une choses que j'ai appris en regardant Buffy Contre les Vampires il y a deux choses en lesquels il ne faut pas croire "les lutins et les coïncidences".....

I Can't Decide Scissor Sisters Ta DAh! 2006

vendredi 15 avril 2011

Don't Sit Down 'Cause I've Moved Your Chair

Yep de retour! Je ne sais pas si c'est définitif, mais voilà aujourd'hui je me suis dis qu'il était approprié de remettre à jour Here, There and Everywhere.
Pourquoi? Tout simplement par ce que je repars! Oui je repars pour une année à Surrey et vous ne pouvez pas savoir à quel point j'ai hâte!
Si j'avais arrêté de publié c'était tout simplement par ce que je n'avais plus envie, et surtout plus rien à dire... Bien sûr il m'est arrivé un tas de choses cette année mais pas moyen d'être vraiment heureuse. Après ce n'était pas que dû au fait que j'ai quitté l'Angleterre non c'était une série d'événements dont je ne parlerai pas sur un blog par ce que non mais quand même!
Mais ça y est il y a deux jours j'ai retrouvé cette volonté de communiquer avec le monde, de m'épancher sur la toile. ça y est je recommence à pourrir le net avec ma (attention ça va faire mal aux yeux) "positive attitude".
Enfin à lire ça on croirait presque que cette année a été complétement moisie mais pas du tout! (enfin pas complétement) J'ai eue une nièce qui est adorable (ça y est la fin du monde est déclenchée j'ai appelé un bébé adorable), j'ai reconnecté avec des amis que j'avais perdu de vue pendant mon année en Erasmus (et maintenant honnêtement je préférerais me couper le pied que de les perdre à nouveau) j'ai fais de nouvelles rencontres aussi qui se sont avérées follement géniale, et je suis rentrée pas mal sur Gre (bon sauf ces derniers temps mémoire oblige... foutu mémoire...) pour revoir mes eaux-clairiennes préférées sans qui je ne serais rien
Bref il est fort possible qu'on me revois souvent sur ce blog dans les mois à venir par ce que Baby I'm back :D !
So Long Bitches !

Pour être honnête cet article a failli ne pas être posté, mais à quoi bon s'embêter à créer un blog si c'est pour tout garder pour soi! Et promis les prochains posts seront moins mélo (enfin je crois^^). Sinon là plus part d'entre vous (si jamais vous repassez dans le coin allez être heureux j'ai viré la musique! Et je vais sûrement ajouter mon Twitter (oui je suis Geek à ce point)



Don't Sit Down 'Cause I've Moved Your Chair Arctic Monkeys Suck It and See 2011

mardi 1 juin 2010

It's raining again

C'est quand même triste ça je passe mes dernières semaines en Angleterre à glander... enfin aujourd'hui j'ai une bonne raison (si, si!) il pleut... (et c'est plus rare que ce que l'on peut penser) et du coup après être aller manger mon English breakfast avec d'anciennes collègues Erasmus, et être aller chercher mes billets de train pour Liverpool (Beatles Land here I come!!) sous la flotte et sans parapluie, je n'avais plus grand chose à faire à part rester bien au chaud dans ma chambre (et demandez à toutes les personnes qui m'ont rendus visite "bien au chaud dans ma chambre" c'est le moins qu'on puisse dire). Du coup la pluie ça vous fais faire des trucs que vous regrettez amèrement par la suite comme finir de regarder un film japonais vraiment moisi en s'envoyant un pot de Ben&Jerry's... Mais bon ça fait bloguer aussi. Mais sinon mes autres jours de glandage ou j'avais tout de suite moins d'excuses pour être enfermée chez moi (a part le fait d'être décalquée à force de me pieuter à 4h00 du mat) je faisais ça :

et après j'ai fait ça mais j'aime tout de suite moins:


faut dire que le dessin original avait déjà son lot de défauts et je ne suis vraiment pas satisfaite du fond que j'ai fait vraiment histoire de mettre un fond....
Voilà voilà

Edit: et sinon je me suis déjà désinscrite du site de rencontre, ça m'a vite gonflée ^^

It's Raining Again Supertramp ...Famous Last Words... 1982

mercredi 12 mai 2010

Girls Just Wanna Have Fun!

Alors voilà je m'étais juré que je n'en arriverai là que si j'étais désespérée... plus que d'habitude je veux dire... Mais que voulez vous Sandrine m'a convaincue... elle m'as dis que ça n'engageait à rien.. que à défaut de trouver quelqu'un je me ferrais des amis... Oui voilà c'est dit... je me suis inscrite sur un site de rencontre... -_-
Le pire dans tout ça c'est que ça commence déjà à me gonfler de devoir répéter toujours les même choses, ce que j'aime ce que je n'aime pas... mais bon on verra bien...

Girls Just Wanna Have Fun Cyndi Lauper She's So Unusual 1983